Les maisons mères devraient réduire la mortalité infantile et maternelle
Le directeur du centre de santé de Nyagihamba et le secrétaire exécutif du secteur de Nyarubaka indiquent que le centre de secours servait autrefois à aider les parents déjà décédés à cause du mauvais état des routes et qu’ils en veulent maintenant un autre.
La directrice du Centre de Santé de Nyagihamba, Sœur Thérèse Uwizeyemariya, affirme que l’accueil de plus d’un parent a été difficile en raison de l’inadéquation du bâtiment, mais maintenant il n’y a plus d’inquiétudes quant à la liberté et à l’intimité des parents qui vont se reposer.
Il raconte : « Lorsque nous avions deux mères en travail, c’était un gros problème et le personnel avait du mal à les installer dans la petite pièce que nous avions. Nous utilisons toujours l’équipement dont nous disposions mais nous avons besoin d’équipement. liés au temps comme au lit et à la literie. Ce sont les parents qui ont besoin de nous en tant que autre personne.
La sœur d’Uwizeyemari affirme qu’ils ont besoin d’équipements modernes, notamment de premiers secours
Ils déclarent également qu’ils souhaitent que la maternité soit dotée d’équipements adaptés à l’époque, car ce qui était utilisé dans le Centre de Santé est désormais utilisé, y compris ceux utilisés pour les femmes qui accouchent, ainsi que les lits de repos et d’attente pour celles qui accouchent. en attendant. né.
Les lits familiaux sont intemporels
Il dit : « Quand nous devons envoyer notre mère à l’hôpital, cela nous pose beaucoup de problèmes car nous devons appeler les services d’urgence de l’hôpital, ce qui nous met dans le stress d’attendre si la mère arrive sans problème. ” Nous avons également besoin de lits pour eux car ceux qui sont disponibles ne sont pas adaptés pour accueillir une mère qui vient d’accoucher”.
La maison qu’ils ont construite permettra aux parents de se sentir libres et de bénéficier de meilleurs services
Les parents qui fréquentent le centre de santé de Nyagihamba disent que s’il n’est pas construit, ils devraient se rendre à Musambira et Remera-Rukoma, ce qui pose problème aux parents qui vivent dans le village traditionnel et cela leur causerait des problèmes.
Quant à la liberté de la future mère, une mère nommée Uwingabire Lesuda, qui a récemment accouché dans une maison nouvellement construite, affirme que l’endroit où elle a accouché ne promettait pas un accouchement sain.
Il dit : “Là où nous avons accouché, c’était serré, on ne pouvait pas se détendre parce qu’une mère enceinte n’est pas à l’aise de rester ensemble. Si vous rencontrez plus de gens, cela devient un problème plus grave, mais cette maison est grande et est destinée aux mères célibataires. il n’y a aucune honte à sentir que les gens vous regarderont lorsque vous accoucherez et vous aurez l’impression que vous risquez d’être trop mangée si vous parlez, les gens vous puniront et une future mère a besoin d’un secret ».
Le maire du district de Kamonyi, dr. Sylvère demande alors aux parents de participer aux soins médicaux, pour éviter la mort des enfants et des mères qui meurent en couches, car trouver une maison de retraite moderne est la réponse au problème de la mort.
Car cette nouvelle maison était une célébration de la maison
Il souligne qu’il existe un besoin d’équipements modernes, qu’il y a maintenant un besoin de base et qu’il existe encore un besoin réel, et qu’en coopération avec le Ministère de la Santé (MINISANTE), des solutions sont recherchées pour augmenter l’équipement.
Il dit : “Ce que nous avons maintenant est basique, cela nous permet de travailler en attendant la solution du nouvel équipement, cette maison contribuera à la réduction de la mortalité des enfants et des mères qui meurent pendant l’accouchement, car les mères participeront en arrivant et en accouchant dans un bon endroit, et si tu viens faire des tests de grossesse, il n’y aura personne pour pleurer dans la maison”.
Les statistiques du district de Kamonyi montrent qu’en général, la construction de centres de santé et de maternités a réduit les décès d’enfants et de mères qui meurent en couches puisqu’en 2020, 41/100 000 mères meurent et 80/1 000 enfants, maintenant les chiffres ont baissé. significatif car les chiffres de 2023 montrent que 11/1000 enfants meurent et accouchent, alors qu’avant on comptait jusqu’à 60/1000.
Alice Kamau, directrice de l’organisation Food for the Hungry Rwanda qui a participé à la construction de la maison, affirme que la construction de la maternité fait partie du plan visant à réduire à zéro la mortalité maternelle et infantile.
Kamau affirme que construire une bonne maison pour les parents les aide à donner naissance à des enfants en bonne santé
Il dit : “Nous ne voulons pas voir une mère qui rate la naissance d’un enfant ou une mère mourir, et si la mère n’a pas de place libre pour l’accueillir, elle n’a aucun espoir d’avoir un bon accouchement”, et si la mère a un bon endroit pour la recevoir, c’est une préparation psychologique pour accoucher et bien accoucher.”
Le secteur de Nyarubaka dispose d’un centre de santé et d’une maternité moderne, et dispose d’au moins une clinique primaire dans chaque cellule. Ses dirigeants souhaitent que, comme le secteur est loin des bonnes routes, un soutien soit disponible partout où il passe.
Les parents sont heureux que la nouvelle maternité leur permette d’accoucher librement
L’endroit où ils sont nés n’a pas d’importance